Hamid Grine, ministre de la Communication, a réagi, ce dimanche 28 février, sur l’affaire de la mise à l’écart du présentateur du JT de 19 heures de Canal Algérie, Ahmed Lahri.
« Sur le plan des valeurs républicaines, du respect de la fonction, de la déontologie et de l’éthique, quand on parle du président de la République, on dit le président de la République Abdelaziz Bouteflika », a estimé Hamid Grine devant la presse lors d’une visite de travail à Aïn Defla.
Selon le ministre de la Communication, le présentateur a fait l’objet de plusieurs rappels à l’ordre sur le même sujet. Sauf qu’il a persisté. « C’est d’autant plus étonnant de la part d’un journaliste chevronné comme Ahmed Lahri qui a déjà par le passé fait la même erreur. Le responsable (de la chaîne de télévision) lui avait déjà recommandé de ne plus agir de la sorte », a expliqué Hamid Grine qui dément également toute suspension.
« Il a été redéployé sur la rédaction mais pas suspendu. On ne va pas faire de quelqu’un qui a commis une faute professionnelle une victime ou un martyre de la liberté d’expression ! », a-t-il lancé.
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