On vous le dit

4 morts et 2 blessés dans un accident de la circulation à El Bayadh Quatre personnes sont décédés et deux autres ont été blessées, dimanche soir, dans un accident de la route, au lieudit Oued Namous, au sud du territoire de la wilaya d’El Bayadh, selon un communiqué de la Protection civile rendu public hier. L’accident s’est produit suite au dérapage d’un véhicule utilitaire, qui s’est renversé sur ce tronçon de la route reliant les communes d’El Benoud (El Bayadh) et de Tinerkouk (Adrar), tuant sur le coup quatre de ses passagers et causant de graves blessures à deux autres, a-t-on précisé. Les blessés ont été évacués en urgence vers l’hôpital de la commune de Labiodh Sidi Cheikh, où ont été également déposées les dépouilles des quatre personnes décédées, selon la même source. Une enquête a été ouverte par les services de la Gendarmerie nationale pour déterminer les circonstances exactes de l’accident. Les paramédicaux mécontents à Mouzaïa Le représentant du Syndicat algérien des paramédicaux (SAP) du bureau de Blida n’a pas trouvé mieux que de saper (sans jeu de mots) le moral des troupes. En effet, lors d’une réunion tenue récemment au niveau de la polyclinique de Mouzaïa, le syndicaliste n’a, selon les nombreux adhérents présents, apporté aucune solution aux doléances exposées par le personnel de la santé exerçant dans les différents services de l’établissement. Pis encore, il a dépouillé, selon un adhérent, l’activité syndicale de son esprit de force revendicatrice, en occultant toutes les doléances d’ordre professionnel exposées par des blouses blanches mécontentes. A titre d’exemple, un technicien supérieur de la santé, victime d’une agression dans l’exercice de ses fonctions, n’a même pas bénéficié d’un avocat pour plaider sa cause, alors qu’un syndicat est censé défendre les intérêts socioprofessionnels des travailleurs qu’il représente. Les nombreux présents se sont demandé quelle est l’utilité de telles initiatives (réunions) si les exigences des travailleurs ne sont pas prises en compte et au sérieux… Quand austérité rime avec rationalité «A quelque chose malheur est bon», dit le dicton. A Tiaret, le wali, Abdeslem Bentouati, apparemment dépité par cette gestion pour le moins ridicule et aux antipodes de l’acte économique, a bel et bien franchi le pas en tordant le cou aux pratiques jusque-là inacceptables dans la gestion des locaux dits du président de la République. Hors de lui et sidéré par la gestion peu orthodoxe de ces locaux, le chef de l’exécutif de Tiaret a invité le maire de l’APC de Tiaret à faire d’un luxueux centre commercial situé route d’Alger un hôtel de ville. Se trouvant dans l’exiguïté dans un vétuste siège datant de l’époque coloniale et en quête d’un autre plus neuf, l’offre a été accueillie par une salve d’applaudissements et a suscité à travers la ville une grande admiration pour ce geste salvateur par ces temps de crise et d’incertitude. A Cardiff, les demandeurs d’asile doivent porter des bracelets pour manger Un sous-traitant du ministère de l’Intérieur britannique était sous le feu des critiques hier au Royaume-Uni pour avoir imposé aux demandeurs d’asile le port d’un bracelet coloré obligatoire pour bénéficier d’une aide alimentaire. Ce dispositif a été mis en place par Clearsprings, une entreprise gérant un centre d’accueil de demandeurs d’asile à Cardiff, au pays de Galles (ouest). Concrètement, les réfugiés, pour bénéficier de repas gratuits, doivent porter un bracelet rouge, selon une photo publiée par The Guardian, qui a révélé l’affaire. Clearsprings a expliqué au quotidien britannique avoir instauré cette mesure pour faciliter le tri entre les personnes qui ont droit à cette aide alimentaire et les autres en raison de l’augmentation importante du nombre de demandeurs d’asile. Mais ces bracelets ont provoqué la colère d’organisations et d’élus locaux, qui ont dénoncé une stigmatisation des migrants. La question devait être évoquée hier lors d’un débat au Parlement de Westminster.

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